martes, 23 de mayo de 2017

Para los amantes de Perec que estén en París


DU 7 AU 11 JUIN :
LE PRINTEMPS DE LA TRADUCTION

Du 7 au 11 juin 2017, à Paris et Gif-sur-Yvette, Le Printemps de la traduction, soutenu par le Centre National du Livre, proposera aux lecteurs une rentrée littéraire des traducteurs dans 8 librairies partenaires avec 9 romans sélectionnés dans l’actualité éditoriale.

Cette 3e édition s’attachera à explorer la traduction des écritures à contraintes, et notamment de l’œuvre de Georges Perec, mais fera également la part belle à la traduction de poésie et de chanson à travers des conférences, lectures, débats et ateliers ouverts à tous.

Traduire, quelle contrainte! C’est pourtant avec un plaisir sans cesse renouvelé que les traducteurs s’y soumettent, s’y adonnent même. Et pour la troisième fois, des traducteurs vont aller à la rencontre de leurs lecteurs au cours de ce Printemps de la traduction, dans des librairies, dans des bibliothèques, dans les salons de la Société des Gens de Lettres ou à la Maison de la Poésie, bref, partout où la littérature est vivante. Cette manifestation se veut donc un espace de dialogue, mais nous avons également souhaité donner l’occasion à chacun de s’essayer à la pratique de la traduction, aussi les ateliers que nous organisons s’adressent-ils à tout le monde, traducteurs chevronnés ou simples curieux de la chose. Chacun pourra dès lors appréhender le véritable tour de force accompli par trois des traducteurs de Perec, lesquels, à l’occasion de la publication des deux tomes que lui consacre La Pléiade, viendront discuter autour d’une table ronde des casse-tête qu’ils ont dû résoudre pour le traduire. « Je cherche en même temps l’éternel et l’éphémère », écrivait Perec. C’est bien ce que, modestement, tout traducteur souhaite faire. Mais comment traduire cette phrase en respectant le monovocalisme ?

Enfin, pour ne pas déroger à nos habitudes festives, nous nous quitterons en musique, autour d’un verre de Morgon-Lapierre. Ah ! Traduire, quelle contrainte !

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